Soleil d’un avril séraphin
Mon grand veneur d’hiver afin
D’un coup de dague achever un
Piterak hyperboréen
Qu’avril s’azure sans écume
Loin des cieux lourds comme l’enclume
Des vents ne laissant que des grumes
Que nimbent de tremblantes brumes
Bel avril qui mars vient surseoir
Du feu d’un solaire ostensoir
Sur l’ennui des cités-dortoirs
Où des serfs vont sur les trottoirs
Avril ouvre un bel âge d’or
Et éclos jusqu’à Fructidor
Sème une nue d’Alexanors
Qui nous feront perdre le nord
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