J’ai vu la pyramide et les autres merveilles ;
Dans les temples marins, j’ai promené l’ennui,
Comme un vieux compagnon qui au monde s’éveille,
Au sortir de la nuit.
Ce bienfaisant malaise a cependant son charme,
Au point que l’on se plaise à verser quelques larmes,
Sans connaître un vrai chagrin : ce spleen séduit.
Les temples marins © Mapomme
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