vendredi 29 juillet 2011

Numéroèmes. Celui qui l’huis teint, lui tint ces propos




Chaque jour, je dors mes huit heures :
Ah ! sommeil, sale inhibiteur !
Vous direz, il en reste seize ;
Que répond votre serviteur ?
Huit autres gâchées au labeur
Et dont je ne suis pas très aise.
Je sens que sévit un gobeur,
De mon temps libre le flambe-heures.




Vampire d'heures © Mapomme


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