On confond trop souvent liberté et excès
Puisqu’on use bien trop de violentes diatribes ;
Dans d’acides venins, lors des constants procès,
Trempent leur calame les vitupérants scribes.
Ils invoquent la rage, onguent miraculeux
Qui sauve sans faillir la liberté précaire
Que met en grand danger un monstre crapuleux,
Qui est de la nation le plus grand adversaire.
Jadis on affrontait un simple concurrent
Et non un ennemi qui vers le précipice
Puisqu’on use bien trop de violentes diatribes ;
Dans d’acides venins, lors des constants procès,
Trempent leur calame les vitupérants scribes.
Ils invoquent la rage, onguent miraculeux
Qui sauve sans faillir la liberté précaire
Que met en grand danger un monstre crapuleux,
Qui est de la nation le plus grand adversaire.
Jadis on affrontait un simple concurrent
Et non un ennemi qui vers le précipice
Pourrait nous expédier
par un sort
fulgurant,
Le verdict des urnes lui devenant propice.
Alors, chaque scrutin se montrant capital,
Le verdict des urnes lui devenant propice.
Alors, chaque scrutin se montrant capital,
On harangue, on désigne une avérée menace,
Car il faudra livrer un corps à corps vital
Pour repousser encor cet abîme tenace.
Aussi on se permet tous les excès verbaux,
En vue de remporter ce grand enjeu ultime
Divisant la nation qui s’en va en lambeaux,
Quand amis et parents sont l’ennemi intime.
Car il faudra livrer un corps à corps vital
Pour repousser encor cet abîme tenace.
Aussi on se permet tous les excès verbaux,
En vue de remporter ce grand enjeu ultime
Divisant la nation qui s’en va en lambeaux,
Quand amis et parents sont l’ennemi intime.
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