C’est l’incendie de Rome aux neurones transmis
Le déclin d’un empire et la fin des orgies
Des banquets estivaux des longues léthargies
Quand l’électrum héliaque à l’horizon blêmit
Les cris des vandales les plus vils ennemis
Dont la furieuse armée des banquises surgie
Vient nous transir l’esprit sapant toute énergie
Sur le mont Palatin voient l’empire soumis
C’est notre culture qu’on efface soudain
Le temple du savoir livré au feu barbare
Un musée égyptien pillé par les gredins
Comme Byzance et Troie la mémoire se barre
Privés de souvenirs nous devenons bredins
Dans des brouillards sans fin le souverain s’égare
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