À Audrey et Eldred
La beauté abritant une
âme des plus fourbes.
Des anges sont démons aux
plaisirs dissolus
Se vautrant dans la boue
les excès et le vice ;
D’autres plus élégants
sans quête d’absolu
Cœurs de noble lignée
paraissent sans malice.
Les voyant on croirait que
monstres résolus
Ils feignent d’être bons
et toujours au service
D’une juste cause qui
semble le salut
Des malheureux qu’ignore
un silence complice.
Le temps passant on voit
que nul mot n’était feint :
Leur carrière finie
leurs luttes pour des causes
Pointe toute injustice
et combattra la faim.
Se trouvant à l’arrêt ou
très souvent sur pause
La star à ses soutiens n’aura
jamais mis fin
Et sublime ressort de la
métamorphose.
On les a vus germer en
boutons délicats
Leur prestance admirant et parfois plus leurs courbes.
Leur prestance admirant et parfois plus leurs courbes.
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