En vivant un destin n’ayant
rien de commun
Enrôlé dans l’armée quand
sa terre fut prise.
Les hasards de la vie
influent sur le Destin
Qui est un dieu aveugle agissant
par surprise ;
Dans un cirque la paix de
sang veut un festin
Pour montrer que du sort
nul n’aura la maîtrise.
Spartacus dresse un jour l’armée
des gladiateurs
Puisqu’on n’honore pas de
leur contrat les termes ;
La lutte n’émeut pas le
corp des sénateurs.
Afin de mettre fin à la
révolte en germe
Deux légions sont
mandées ; d’abord dominateur
Spartacus les défait ; mais Rome a tenu ferme.
Le moins puissant échoue et la défaite essuie.
Des beautés aperçues que de choses enfuies
Qui telles des larmes se perdent dans la pluie !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire