Prométhée malgré moi j’ai bien failli périr
Sur les pentes d’un mont où sont sculptés les faces
Des dieux d’un autre temps où j’ai pu acquérir
D’utiles lumières sur l’ombre qu’on pourchasse.
Un aigle mécanique est venu me pourrir
Le beau costume bleu en me laissant des traces
D’un traitement mortel supposé secourir
Un grand champ de maïs des nuisibles voraces.
J’ai porté aux humains le flambeau du savoir
Qui permet de brûler le rideau des ténèbres
Quand le Mal sur le monde abolit les devoirs
Promettant au blond ange un dernier vol funèbre.
Je suis le bienfaiteur qu’on ne pouvait prévoir
Dilettante éternel qui jadis fit le zèbre.
Dilettante éternel qui jadis fit le zèbre.
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