L’info et Internet nous montre les
puissants
Qui
braillent, font la roue, en
affichant leur thune ;
Ici-bas,
seuls leurs mots semblent éblouissants
Qui
sont plus importants du fait de leur fortune.
Ces
gens-là méprisent le commun des mortels,
Qui
n’est que valetaille et source d’opulence ;
Qu'ils lâchent un bon mot, au
sortir d’un cocktail,
Et
il fait plus de buzz qu’un progrès de la science.
Semblant
infrangibles, tel un sommet rocheux,
Leur
règne étant promis à plus de mille
années,
Rien
ne peut entraver leurs programmes
fâcheux,
Quitte
à ce que nos vies s’en trouvent condamnées.
Parfois
un grain de sable, un grain de trois fois rien,
Grippe
les rouages de cette mécanique ;
Rien
ne peut s’opposer aux choix jupitériens
Et
Goliath se moque des proches qui paniquent.
Quelques
fois de l’Olympe, on voit choir un géant,
Dont
se grippe d’un coup le beau dessein grandiose,
Un
être insignifiant, un
vague fainéant,
Stoppant
du financier la noble apothéose.
Avec l'aide du Caravage avec le vrai visage du grain de sable
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