La beauté en ce monde est méprisée souvent
Comme l’esprit brillant se trouve la risée
Des forces du néant qui tournent à tout vent
Ainsi la Nature est sans fin vampirisée
En nos jardins la rose au pétale émouvant
Par mille pucerons se voit martyrisée
Altérant sa surface et toujours l’éprouvant
Ses ressources étant pleinement maîtrisée
De ce nocif labeur profitent les fourmis
Qui trairont le miellat des pucerons des roses
Le parasite aussi a son grand ennemi
Qui du monde amplifie la vandale sclérose
Pour un horrible but le monde est donc soumis
Survivre au lieu de vivre est un dessein morose
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