Le chant hypnotique des vagues de l’été
Évoque des jadis insouciants de lumière
Serviette et parasol afin de farnienter
Et l’oubli pour seule nécessité première
Ondines et tritons droit venus des cités
Dans l’écume apaisent les flammes coutumières
D’un bronzage marquant cette félicité
D’avoir mené un mois d’une vie buissonnière
C’est une parenthèse en des temps incertains
Où le monde est livré à l’étrange anathème
Qui nous frappa depuis un empire lointain
Pour laver nos tracas en
des bains opportuns
Allons par les chemins
tout bordés d’hélianthèmes
Réimprimons les pas que l’onde a effacés
Pour retrouver la voie d’un bienheureux passé
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