Douce comme un
Chant de sirène
Au lieu commun
Elle me mène
Comme est souple son cou
Où je pose ma joue
Elle coupe court
De ses deux mains
Le fil des jours
Sans lendemain
Sa main est sur mon front
Tendre consolation
Sœur imprévue
Sur mes malheurs
Avez-vous vu
Comme elle pleure
Coulent ses douces larmes
Qui noient ma vie sans charme
Elle me berce
Et je m'endors
Son froid me perce
L'âme et le corps
Inquiète elle surveille
Mon éternel sommeil
Soeur imprévue © Mapomme
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