Il gémit sur les morts qui tombent sous les
balles,
Jeunesse
sacrifiée dans d’horribles conflits ;
Sur
ce plan, tant d’humains maudissent les vandales
Qui envoient leur
futur qui crève sans un pli.
Pour
arrêter la guerre, il n’est rien de magique :
Il
faut décourager le pays agresseur,
Mais
punir l’agressé a un effet tragique,
Encourageant
surtout le tyran oppresseur.
De
plus, se refuser à fournir des défenses,
Accroîtra
le carnage et le mortel bilan ;
L’affreux
veut réduire le montant des dépenses,
Quitte
à porter la honte au moins pour dix mille ans.
Ses
mains sont couvertes du sang de ce carnage,
Sans
pouvoir les laver, tel un roi criminel.
En
monstre il restera cet affreux
personnage,
Trahissant
ses alliés, dans l’opprobre éternel.
Nul océan ne peut laver une âme noire,
Du
sang qui a couvert ces misérables mains !
Rien ne peut effacer, ce sang de nos
mémoires
Lorsqu'il a adopté un aussi vil chemin !
jeudi 3 juillet 2025
Élégies. Un gourou de la paix
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