Aurons-nous à nouveau le miel et puis le lait
La liberté d’aller flâner parmi la foule
Visiter un musée rêver dans un palais
Et manger au resto des frites et des moules ?
Reverrons-nous la plage assis sur les galets
Dans une anse du Cap dans l’écume des houles ?
Nous enfilons les jours identiques et laids
Le temps s’est arrêté et nulle heure ne coule
L’absurde se révèle à l’esprit effrayé
C’est celui de la vie que tout un peuple mène
Où nous volons fétus par le vent balayés
Navrante est devenue la condition humaine
Si nous voulons un jour cette chute enrayer
Saurons-nous préserver la belle Paix Romaine ?
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