Je regarde souvent l’immensité stellaire
Où dans la nuit d’été luisent des feux tremblants ;
Je m’interroge alors si près des feux solaires
Se trouvent des vivants loin d’être ressemblants
Perscrutant dans la nuit les aurores polaires
Aux dansantes couleurs spectacle époustouflant
Tel un vent du large
dans les voiles soufflant.
Si ailleurs une vie s’est créée et subsiste
Après avoir connu tumultes et tourments
Se peut-il qu’un esprit presqu’analogue existe ?
S’il n’y avait de vie ce serait désarmant
Et ce vaste infini empli de feux bien tristes
Serait un grand gâchis sans l'espoir d'un serment.
Serait un grand gâchis sans l'espoir d'un serment.
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