À la nounou chez moi j’ai refilé un flingue
Afin que mes minots soient en sécurité ;
Il y a dans l’état des tripotées de dingues
Qui butent sans remords pour des futilités.
J’ai des fusils d’assaut puisque tout se déglingue
Et je ne vois pas mieux afin de m’abriter
Que le pasteur classe
comme déshérités.
Vendez tout armement ce qui mieux nous protège
De qui l’acquiert ainsi et nous met en danger
Et peu importe donc les funèbres cortège !
N’écoutons pas les fous qui veulent tout changer :
Si par malheur un jour notre nounou abrège
La vie de nos enfants je saurais les venger.
La vie de nos enfants je saurais les venger.
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