Les hauteurs enneigées aux froides solitudes
Charment deux spectateurs séparés par deux rangs ;
Dans l’immense cité c’est la similitude
Des destins naufragés sur les rocs affleurants.
Chacun charrie la croix de ses vicissitudes
Dans l’ombre des buildings inhumains et trop grands ;
Écrase de son poids les
espoirs des migrants.
Sous la lumière ambrée songe la blonde ouvreuse ;
C’est l’ultime séance en ce jour anodin
Que teintera ce soir un gorgeon de Chartreuse
Qui fait tout digérer fée verte des mondains.
Les horizons perdus utopie généreuse
De sa mélancolie nous submerge soudain.
De sa mélancolie nous submerge soudain.
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