Se groupant dans plaine
où paissent les troupeaux.
De la neige des monts jusqu’à
en perdre haleine
Des torrents écumants dévalent
sans repos.
Une rivière en naît
libérée de ses chaînes
Trop longtemps enneigées
et qui se font l’écho
Du cri du gypaète sur
les cimes hautaines.
L’eau fond vers les
plages et ses mois tropicaux.
Plus une année avance et
plus grossit le flot :
Tout est très différent
dans une vie humaine
Où les rires font place
à de tristes sanglots.
Passent les jours
heureux que nul ne nous ramène
Et des rires premiers le
beau chapitre est clos
Quand la vie est soldée à l’encan des semaines.
Le temps passe et le fleuve est scindé en torrents :
Chacun de son côté quitte amis et parents.
Chacun de son côté quitte amis et parents.
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