Mes compliments belle marquise
Revêtue d’un noble tissu
Vos paroles sont fort
exquises
Cher voltaire du peuple
issu
Essayez-les sur la
duchesse
Ses ans se contentent de
peu
Marquise sans votre richesse
Qui aimerait votre air pompeux
Votre ancêtre était un crapaud
Qu’on maria à une bergère
Désobligeants sont vos
propos
Voltaire sans cesse exagère
À lécher le cul des puissants
Vous finirez chaise percée
Et vous m’a dit un confident
Dans la débauche êtes versée
Sur vous tous les hommes s’allongent
Comme les couples libertins
Ô meubles bavards je vous
plonge
Dans le noir Je sors et j’éteins
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