On aimerait s’enfuir aux
confins de la Terre,
En des lieux inviolés par l’ogre des réseaux,
Arpentant les déserts parsemés de cratères,
Dont certains sont emplis de féériques eaux.
On vogue sur des flots, nées d’un profond mystère,
D’un bleu presque irréel, sans algues ni roseaux :
Des falaises se dressent, rocs non sédimentaires,
Où nichent par milliers de mystérieux oiseaux.
Des sublimes dessins, tatouages des âges,
Illustrent les parois d’un bleu marmoréen,
Reflété dans les eaux comme sur nos visages.
Un antre ténébreux des temps solutréens,
Qui augure un danger, - du moins, on le présage -,
Gueule affamée qu’ouvre le marbre azuréen.
En des lieux inviolés par l’ogre des réseaux,
Arpentant les déserts parsemés de cratères,
Dont certains sont emplis de féériques eaux.
On vogue sur des flots, nées d’un profond mystère,
D’un bleu presque irréel, sans algues ni roseaux :
Des falaises se dressent, rocs non sédimentaires,
Où nichent par milliers de mystérieux oiseaux.
Des sublimes dessins, tatouages des âges,
Illustrent les parois d’un bleu marmoréen,
Reflété dans les eaux comme sur nos visages.
Un antre ténébreux des temps solutréens,
Qui augure un danger, - du moins, on le présage -,
Gueule affamée qu’ouvre le marbre azuréen.
Un bleu marmoréen © Mapomme

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