Ou une épidémie mal
obscur qui décime
L’opulence insouciante et
la joie malmenant.
Les ors sont-ils péché
et le fléau la dîme
Qui serait à verser au
Destin immanent
Pour avoir trop dansé à
l’orée de l’Abîme
En cachant sa lignée née
parmi les manants ?
Le bonheur et la joie
dont la Cité profite
Sont-ils un dol qu’on
prend du levant au ponant
Sans remord exprimé
l’âme de joie confite ?
Sans cesse on vit la
peur en notre esprit sonnant
Le tocsin alarmant les
marchands et l’élite
De quelque apocalypse ici-bas moissonnant.
Alors il faut jouir des biens et des plaisirs
Avant que ce tocsin ne vienne nous saisir.
Avant que ce tocsin ne vienne nous saisir.
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