Allons tel un navire ivres de liberté
Sur l’océan paisible ou submergés d’écume
Peu importe les vents pouvant déconcerter
Ne lâchons pas la barre en un flot d’amertume
Allons voiles claquant éblouis de fierté
Tel un aigle royal dont frémissent les plumes
Survolant les cimes dans l’azur déserté
Plus haut que les autres ne volent de coutume
Même si on s’échoue sur d’anodins récifs
Mornes et grisâtres sombrant dans la routine
Quand s’éteint la passion de nos cœurs excessifs
Loin des soleils radieux des amours florentines
Reste le voyage vivace et progressif
Vers l’aube inexplorée des rives ponantines
De ton corps je saurais tous les versets lascifs
De de tes lèvres douces les péchés qu’on butine
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