À ma mort ouvrez grand les portes de l’Enfer
Ou bien du Paradis s’il plaît au Juge Ultime
Mais ne les fermez pas si jamais ce transfert
Ne seyait nullement au séjour que j’estime
Mériter tout en bas ou alors dans les cieux
Pas de Purgatoire car c’est bébé qu’on purge
En aucun cas les morts qui méritent bien mieux
Quoi qu’en ait décrété le Suprême Démiurge
Si jamais le séjour ne me convenait point
Me rapatrierait-on tout feu et toutes flammes
Au séjour des vivants avec le front tout oint ?
Y a-t-il une assistance ainsi qu’on le proclame
Dans tous les voyages car il en est besoin
Et demeurer bloqué quel enfer pour toute âme ?
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