Par le feu et le fer il ravage tout rêve
L’épouvantail L’épouvantail
Car surgissant soudain de l’ombre d’un portail
Tous nos ballons d'enfant il crève
Son regard nous transperce en tous lieux et sans trêve
Il entrevoit chaque détail
Va donc cohorte humaine à l’instar du bétail
Par la morne allée des drèves
Par les cités enfouies les paradis perdus
Dans les rangs des champs de lavande
Il surgit et nos cœurs par le froid sont mordus
Aussitôt la peur nous commande
Tout s’obscurcit tout est ardu
Et ce rêve maudit met notre âme à l’amende
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