Depuis les falaises fouettées par les vents
Les oiseaux vers les cieux à chaque aube s’envolent
Tandis que sur le sol nos rêves se désolent
D’ignorer le secret de ce vol si savant
Des espoirs d’avenir pour unique appétit
Ô pauvres voyageurs figés dans une gare
Les bagages trop lourds nous pleurons cette tare
Qui nous fait rêver grand et vivre aussi petits
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