Et monstre des enfers n’a
qu’un roc pour tout cœur ;
Le graal qu’il a guigné
à force de bagarres
Le rend plus qu'inhumain s’il veut être vainqueur.
Dans un dédale obscur une
passion barbare
À ce seul but le lie et
telle en juin la fleur
Aux pétales tombant l’humanité
se barre ;
Il n’est qu’une ombre
errante incapable d'un pleur.
Il lui faut un soleil dans
la nuit qui l’éclaire
Pour retrouver son âme
et le laver du sang
Qui assombrit ses mains
soleil venant l’extraire
Ange égaré lui-même en ce chemin passant.
Sa sublime candeur aura l’heur de lui plaire
Et d'endormir en lui le monstre rugissant.
Et d'endormir en lui le monstre rugissant.
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